école al aswar

"ومن ناحية فعدم حضور كافة التلاميذ مرده كثافة عدد الزملاء الحاضرين الذي فات الخمس والعشرين مع ضيق القاعات وأنه لم يكن هناك اختيار وفرز المقصود به الإقصاء
Si Adel ,^
Comment l'inspecteur ,le directeur et l'instituteur se permettent d'organiser une telle seance dans une petite salle avec ce nombre d'instituteurs en excluant indirectement des élèves?
Le but de la séance c'est de voir les bonnes modèles et corriger les lacunes à travers la réaction de ces élèves à la lecon et la discussion des situations entre inspecteurs/instituteurs .

نقترح تقديم دروس الملاحظة في مدارج .. وهكا كيف يحضروا 25 مدرّس يبقاو الأماكن اللازمة للتلامذة الكل
قسم يرفع 35 كرسي، تستدعى فيه 25 مدرّس .. بالطبيعة باش تبقي 10 كراسي ، وباش يصير اختيار 10 تلامذة من بين 35 تلميذ .. والإختيار معناه إختيار الأحسن... منطقي جدا

أما فيما يخص تدخّل سي التيجاني ، نقول أن ما يهبّلني هو أنو الناس الكل بالمسؤولين الكبار والصغار واالمربين ولأولياء والتلامذة والإعلام المرئي والمسموع والمكتوب ، والمجتمع المدني ، ولى موش مدني .. يصيحوا ويقولوا راهو المستوي متاع التلامذة راهو ماشي في هاوية .. زعما شكون المسؤول؟؟ زعما يكونش إلى عامل السياسة التعليمية جاي من كوكب آخر؟؟ ماهو كيف ما قلت، ما فماش انسان في تونس ماهوش يقول إلى المستوى متاع التلامذة حالة وكارثة

بالله سامحوني وطلعوني غالطة كاني غالطة .. توا البنية التحتية متاع التعليم موجودة وكاملة ، وفما مدارس قاعدة تسكّر لأن عدد الصغيرات نقص برشا ، المدرسين عندنا بالوافي والبعض في البطالة.. علاش يلزم التلامذة الكل تتعدى من قسم لقسم (باش مانقولش تنجح، على خاطرهم ماهمش ناجحين)؟؟ شنوا إلى زاربنا ؟؟ وكيف ما قلتلكم المدارس والمدرسين موجودين والعدد متاعهم يخليونا نخدموا براحة

قالوا إلى يلزم نسبة النجاح تكون مرتفعة ، قلنا هذا شيء باهي برشا .. خاصة أن بلادنا ما عنها كان المادة الشخمة .. لكن زعما تطليع التلامذة شيلة بيلا من قسم لقسم يعتبر نجاح ؟؟ويدل على أن نسبة النجاح مرتفعة؟؟

ثم ناخذ مثال بسيط ، أنا في السنة الأولى .. حتا آخر العام ما نعرفش نكتب كلمة صحيحة .. وننجح ونتعدى للسنة الثانية .. ويقريني المعلم كيفاش نكتب جملة صحيحة ... كيفاش زعما انجّم نفهم فاش قاعد يحكي المعلّم إلى موش في برنامجو باش يكمّل يعلّمني كيفاش نكتب كلمة ومن بعدها كيفاش نكتب جملة ... وفي آخر العام ننجح ونطلع للسنة الثالثة .. والبرنامج كيفاش نتعلم نكتب فقرة صغيرة .. وانا لا نعرف لا نكتب لا كلمة ولا جملة ، كيفاش باش نتبّع المعلّم كيف يفسّرلي كتابة فقرة

قبل كانت فما طرق صحيحة بالحق ، والطرق هذه مازالت معمول بيها في بلدان متقدمة (ماتقولوليش فرنسا على خاطرها متخلفة وهالكتنا معاها) والطرق هذه هي أنو ما ينجح كان إلى يستاهل باش ينجح .. ولّى يكون مستواه أرفع من مستوى القسم إلى هو فيه يقع تطليعو لمستوى أرفع .. معناه يربح قسم أو عام... وهكا كيفاش كل واحد ياخذ حقو .. والمستوى متاع التعليم يكون بالحق باهي .. وكيف انقولوا هاكا مستوى السنة الثالثة معناه راهو يعرف يكتب فقرة صغيرة ، موش ما يعرفش يكتب كلمة

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insana a écrit:

باهي يا سيدي، صندوق النقد الدولي شرط علينا ما يعطينا فلوس باش نبنيوا كليات ومعاهد كان ماتكون نسبة النجاح 80 في المئة ... وشرطش علينا المستوى الجيّد؟؟ وإلا حاطينا عالم متخلّف ويزينا رفع الأمية؟؟

Re assalamou alaykom,

C'est exactement ce qui est en train de se passer actuellement à travers les conditions exigées par le FMI et la banque mondiale. On est, tout simplement, en train de diviser le mode en 2 groupes.

Un 1er groupe qui renferme les pays les plus développés. Ces pays visent la qualité bien plus que la quantité. Leur objectif est de monopoliser les technologies de pointe, d'innover, de proposer et concevoir de nouveaux produits, de faire et publier des recherches scientifiques touchant à tous les domaines.

Un 2ème groupe formé des pays pauvres et en voie de développement à qui on ne demande pas de faire dans la qualité mais dans la quantité. C'est à dire qu'on leur demande de former des gens,pas pour faire la recherche et innover, mais pour exécuter. Ce qui n'exige pas un niveau académique très élevé. Et c'est la raison pour laquelle, la banque mondiale a financé, presque en totalité, le projet des ISET chez nous. Ce qu'on demande de la Tunisie et autres pays similaires, ce n'est, surtout pas, de former des chercheurs ou des génies mais simplement de la main d'oeuvre à des coups très bas.

Alors vous me poserez, peut être, la question "Mais pourquoi ce classement?", et je vous répondrai: pour que les pays riches deviennent encore plus riches et pour que les pauvres continuent à recevoir des miettes et continuent, surtout, à jouer le rôle des "imbéciles".

Un exemple pour vous le démontrer? Le cas du fameux jean "Levi's". Est ce que vous savez qu'il n'y a plus aucune entreprise pour fabriquer le jean "Levi's" aux Etats-Unis et que tout a été délocalisé vers le Mexique, la Turquie, la Tunisie, les pays asiatiques...Alors la conception de nouveaux modèles, le marketing, la définition des nouvelles stratégies de la marque se fait toujours aux USA par des gens qui ont poursuivi des études très poussées dans ces secteurs là, qui sont diplômés des plus grandes écoles américaines, qui ont suivi une formation de qualité pendant leur cursus universitaire et qui sont, surtout, très bien payés.

D'un autre côté, il y a l'assemblage des jeans qui se fait dans les pays pauvres et qui nécessite seulement des ouvriers ou techniciens en textiles (pas besoin d'ingénieurs ou de designers) qui sont payés avec des salaires dérisoires. Ainsi ces pays là sont interdits de "créativité" ou de de "progrès". En d'autres termes, on veut nous obliger à rester au simple stade s'ouvriers et techniciens. Et même nos ingénieurs sont généralement là pour réparer d'éventuelles pannes mais on ne veut surtout pas qu'ils créent, à leur tour, des machines.

Avec une telle politique, le produit va coûter moins cher et ces multinationales peuvent s'enrichir encore et encore, et ces pays industrialisés peuvent continuer à former des chercheurs et des créateurs dans tous les secteurs. Alors que les pays pauvres continuent à consommer les produits importés et à former la main d'oeuvre à coûts réduits pour faire plaisir au FMI et à la banque mondiale. (Bien entendu le même exemple est valables pour l'industrie automobile, aéronautique, pétrolière...).

wadja79 a écrit:

Un exemple pour vous le démontrer? Le cas du fameux jean "Levi's". Est ce que vous savez qu'il n'y a plus aucune entreprise pour fabriquer le jean "Levi's" aux Etats-Unis et que tout a été délocalisé vers le Mexique, la Turquie, la Tunisie, les pays asiatiques...Alors la conception de nouveaux modèles, le marketing, la définition des nouvelles stratégies de la marque se fait toujours aux USA par des gens qui ont poursuivi des études très poussées dans ces secteurs là, qui sont diplômés des plus grandes écoles américaines, qui ont suivi une formation de qualité pendant leur cursus universitaire et qui sont, surtout, très bien payés.

Oui Wadja79 la mondialisation et la libre circulation des marchandises et des capitaux rendant possible les délocalisations, la concurrence à l’emploi et les profits sans précédent des multinationales. Ce n’est pas le cas de Levi’s seulement mais bien d’autres cas similaires allant de Reebok à Benetton qui construisent en ce moment à Kasserine une plate forme de 3 ha couverts.

Or comme vous le savez, pour baisser le coût du travail et maximiser le profit des entreprises :
1- il est nécessaire de délocaliser dans des pays à bas salaires tout en allongeant le temps de travail et en augmentant la concurrence sur le marché du travail
2- de garder la conception, l’innovation et la recherche et développement pour soi même.

Ce qui fait on assiste actuellement à un retour de travail à la chaîne encore moins cher que la robotisation entamée à grandes pompes les années 90 aidé par cela par une absence de revendication sociale dans les pays émergents pour l’amélioration des salaires et des conditions de travail.

Regardez par exemple le secteur des textiles qui constitue le cheval de bataille de nos exports, si on a réussi à former des travailleurs d’exécution exemplaires et performants ce n’est pas le cas en amont pour ce qui est de la formation de cadres spécialisés en conception, recherche et développement qui restent la chasse gardée des donneurs d’ordre ni même en aval par la formation de spécialistes en marketing de grande distribution. On exécute ce qu’on nous demande de faire selon un timing bien précis et une rémunération concomitante préétablie.

insana a écrit:

اخترنا الحل الساهل و السريع و هو تنجيح "الغشاشر" متاعنا بوه على خوه مع تنحية بعض المناظرات كيما "السيزيام" (بدعوى أنّ الصغار يمكن "يتعقّدو" بالإمتحانات الصعيبة و هوما مازالوا كيف بداو "يددشوا" في التعليم) و "تشليك" المناظرات الباقية (كيما الباكالوريا). المهم نوصلوا للنسبة إلّي شارطينها صندوق النقد الدولي و البنك العالمي، و موش مشكل كان الشباب هذاكا يقعدو بطالة من بعديكا كيما صايرلنا توّا: جامعتنا ولّات تخرّج في عشرات الالاف من حاملي الشهائد العليا (و معظمهم بمستوى متدني) في الوقت إلّي سوق الشغل ما حاجتو كان ببضعة آلاف في العام. و هو كيف تجي تشوف الحق، راهو هذا نوع جديد من الاستعمار

A mon humble avis l’enseignement servait à l’aube de l’indépendance à instruire massivement la population tunisienne dont l’élite est traditionnellement formé pour donner des hauts fonctionnaires à l’Etat.

Face à l’incapacité du système à donner du travail aux nombreux diplômés de l’enseignement supérieur dont le nombre tourne autour de 50.000/an on devrait réformer sans tarder l’enseignement sur la base d’un bouleversement pédagogique le plus radical.

Il s’agit de diminuer progressivement le poids de l’Etat dans l’enseignement et d’augmenter la participation de la population dans la gestion des établissements scolaires. Les étudiants doivent apprendre à être indépendants et compétitifs. On devrait privilégier l’aide personnalisée à chaque élève et l’enseignement en petits groupes. Tout doit tourner sur la créativité et la capacité d’analyse que sur la mémoire. Certains pays émergents comme la Thaïlande et la Malaisie se sont engagés dans cette voie…

Pour ce qui est de l’OMC une série d’accords internationaux établis depuis 1995 ont permis aux multinationales de s’enrichir encore plus en dissociant le lieu de production du lieu de vente et de distribution. C’est ce qu’on appelle les délocalisations qui au début ne concernaient que les emplois industriels. Aujourd'hui, elles touchent tous les secteurs, y compris le tertiaire (comptabilité, services informatiques, call-centers...) la haute technologie, ou la recherche et développement

Ainsi les experts de la BIRD et de l’OMC ont grand intérêt à encourager un enseignement chancelant pour activer et stimuler la concurrence entre demandeurs d’emplois qui se rabattent sur des formules précaires (SIVP, 21/21 etc…) !!!

C’est exactement comme l’affirme «insana» ceci est une nouvelle forme d’esclavage moderne qui coûte mois cher que les robots ou les machines à cnc (commande numérique).

insana a écrit:

الساهل و السريع و هو تنجيح "الغشاشر" متاعنا بوه على خوه مع تنحية بعض المناظرات كيما "السيزيام" (بدعوى أنّ الصغار يمكن "يتعقّدو" بالإمتحانات الصعيبة و هوما مازالوا كيف بداو "يددشوا" في التعليم) و "تشليك" المناظرات الباقية (كيما الباكالوريا)

L’école primaire :

Autrefois, les études primaires ( 6 ans) étaient sanctionnées par un Diplôme de fin d'études primaires qui s'appelait "Chehada" et qui servira éventuellement aux écoliers qui quittent l'école prématurément pour un métier et la"Sixième" qui au contraire n'est pas sanctionné par un diplôme comme la Chahada mais plutôt un examen de passage au cycle secondaire. Autre point fort de la "chehada" son titulaire serait dispensé du service militaire ! On comprend alors aisément l'engouement des gens pour la Chehada à cause précisément de ce fameux premier diplôme.

Et si on obtenait le sixième ouvrant la voie à des études secondaires ou les deux en même temps c'est la grande fête à la maison-"chroubou" (sirop de grenadines) et "gazouz" (boissons gazeuses locales de la SOBOCO du temps de feu Tijani DHIB) surtout "gazouz labiedh" avec bouchon fixe en céramique doté de ressort dont la préparation est partie avec la chehada! sont distribués à tout le monde dans un grand "mahbes" (pot).

Ma mère répétait à longueur de journées à ses voisines venues la féliciter "mon fils a obtenu la chehada et le sixième qu'elle n'arrêtait pas d'entrecouper par des youyous de joie" .

Parmi les rares filles scolarisées on comptait de véritables femmes qui se mariaient déjà avant l'examen du sixième !

Mon père quand il n'achetait pas de viande et que ma mère préparait une "chakchouka" (sorte de ratatouille préparée à base de légumes, tomates, piments, oigons, ail et courge) me disait à longueur de journée mange de la courge "elkraâ yethakki" (le potiron te procurera de l'intelligence pour la sixième) et j'en dévorais tout le temps jusqu'à aujourd'hui.

Par manque d'hygiène bon nombre d'élèves étaient à l'époque coloniale parasités par des poux de tête, de corps et du pubis.d'autres deviennent carrément teigneux et on se moquait énormément d'eux à la "medersa" (école)"ya lagraâ ya fartass ". En rentrant à la maison, ma mère qui pourtant m'emmenait tous les jeudi à hammam "el gargabia" ou "louhaychi" l'actuel "taktak" avait toujours la manie de chercher des poux dans ma tête par peur de la contagion et je ne faisais que m'incliner en tombant serein sur ses genoux car à lépoque nous avions un respect inoui pour nos mères même les voyous les plus ignobles. Un "hadith" (recueil des actes et paroles du prophète Mohamed (SAW) que nous avions appris au "koutteb" disait à ce propos que le paradis est sous les pieds des mères"al jannatou tahta akdam el ommahati"

Même plus tard à l' âge adulte, c'était moi qui lui demandais souvent de me faire une petite friction du cuir chevelu "teflili rassi yammi " peut être par habitude car il n'y a plus de poux (l'habitude est une seconde nature-me diriez-vous ou bien si vous préférez chasser le naturel il revient au galop !! c'est plutôt çà ) Franchement j'étais au comble du bonheur en m'adossant sur ses genoux . C'était un feeling incroyable (what a feeling !) Des fois elle profite pour me frotter les oreilles (me corriger). Pauvre "ya" maman, elle n'est plus là "yarham zohra" . Elle a été rappelée par dieu exactement le jour de sa naissance.
Pourtant, je la croyais toujours invulnérable. je n'ai jamais imaginé qu'elle pouvait être au crépuscule de sa vie amoindrie, diminuée et fatiguée pour aller disparaître à jamais.

Il y avait à l'époque deux maîtres à l'ancienne sévères mais respectés un pour l'arabe et au autre pour le français et le calcul.
Ils avaient un droit de regard sur nos faits et gestes même en dehors de l'école et n'hésitaient pas à nous faire une petite correction lorsqu'on faisait des bêtises du genre debout les mains levés face au mur (haut les mains) ou bien on tape quelques coups sur le bout des doigts avec un petit bâton"assa" ou "mastara" en bois de forme carré ou encore une correction plus humiliante genre fessée et des fois on passe carrément à la "falqa" pour les plus récalcitrants.

Et comme fournitures scolaires ( achetées chez Am Salem El Fejji ou Beïk Ajra ou bien prêtés par l'école aux plus démunis car la plupart des élèves étaient de conditions modestes) on avait juste deux bouquins qui peuvent être aussi prêtés par l'école deux ou trois cahiers dont le fameux cahier des citations "mahfouthat" ( Sakfou beiti hadid roknou beiti hajar) , une plume à encre et pour couronner le tout une ardoise à craie et un chiffon pour les questions-réponses et le calcul mental qu'on pratiquait d'une manière intensive.

Quelques nantis pas nombreux à l'époque poursuivaient des études particulières "darss" chez Hedhili BOUGMIZA à la Rahba et Khelifa BAKLOUTI en face du cabinet du Dr PRANZO qui mettait de l'ambiance en nous faisant apprendre par coeur la citation : (la cigale et la fourmie, si portano si porté, akra ya oum al hamami, kheïrouna mina essalami).
Enthousiaste pour l'avènement de la république (1957) il avait dénommé sa fille "joumhouria". que c'est beau et merveilleux.

Actuellement les choses ont beaucoup évolué, il n'y a plus de youyous, de Gazouz et de chroubou en somme le charme folklorique du sixième disparaît à jamais mais un tronc commun préparatoire de 3 ans ( 7e, 8e et 9e sanctionné par un diplôme-facultatif) à l'issue duquel on passe au cycle secondaire proprement dit qui dure encore 4 ans avec des filières (Maths, Sciences expérimentales, Lettres, Maths-technique et Gestion) mais énormément de fournitures et de matières qui constituent un lourd fardeau pour la génération Yaourt mais les pédagogues voient les choses autrement et c'est tant mieux.

Après la suppression du sixième, la limitation de la portée de la neuvième, le Baccalauréat reste l'unique examen national qui a une dimension sociale

Sachez enfin pour la petite histoire que c'est au cours de la saison 1994-95 que les élèves de la sixième année de l'enseignement de base n'ont pas eu à passer le concours de la sixième.

Mohamed Rebai
http://www.kairouan.org/fr/culture/enseignement/primaire.htm

bonjour
j ai lu les interventions et il n y a aucune personne qui a parle de la base de l education, c est vrai qu on a les ecoles , les facultes , les professeurs mais le contenu c est nul les bases de l education sont nulles !!!!!!!
il faut refaire une autre programmation qui donne a nos enfants des nouvelles mentalités des cours comment communiquer avec les autres et respecter les autres
dans nos ecoles ,on les apprend 1+1=2 , cest pa ca il faut tout d abord qu ils connaissent comment parler avec les gens comment aider les autres , regardez le Japon ,ils ont compris le jeu
ce n est pas comme nous , l education islamique parle de tous sauf de la religion ( elle parle de la geographie wallah : la repartition du 3eme monde dans le monde entier 3omri mananseh el cours atheka !!!!!!!!!!!)
donc le probleme cest le contenue de l education non les prof qui sont des graaaaaaaaands prof et aussi on a des bon eleves
fi amen allah